"Si vous possédez une bibliothèque et un jardin, vous avez tout ce qu'il vous faut." Ciceron

Gardez-vous d’aimer un pervers !

Synthèse & résumé À propos du livre Biographie de l'auteur

« La perversité d’un partenaire conjugal ne blesse pas ou ne tue pas avec des gestes, mais avec des mots, des messages à double sens, des conduites subtiles, violentes, paradoxales ou ambiguës, qui déstabilisent, déstructurent lentement une personnalité, qui ne laissent aucune place à l’amour, à la réalisation d’un épanouissement personnel, à une vie de couple normale inscrite dans un quotidien où il est possible de se réveiller chaque matin avec l’espoir d’une journée bienveillante, de s’endormir le soir libéré des soucis d’une journée, apaisé par un plaisir partagé. » Jacques Salomé. 
 

La mise en place de l’emprise

 
Premier mensonge : l’illusion de la rencontre… et l’ « anschluss ».
Cet acteur né va créer une illusion de connaissance complice. Il vous a repérée depuis longtemps. Vous qui rêviez du Prince Charmant ! Le pervers vous a ravie et vous êtes ravie. Cet homme plein d’assurance, de goût, de générosité. de fantaisie, vous fait rire, bientôt il rira de vous. Il vous ouvre la porte qu’il prendra plaisir à vous flanquer bientôt au nez. Il vous envoie des fleurs dont il fera très bientôt payer la moitié du bouquet car il aura réussi à vous faire ouvrir un compte joint. Il aura l’art d’avoir l’air de toujours tout payer, y compris le restaurant qu’il adore, alors que c’est vous qui réglez.
 
Trouver la faille : le travail de sape
Rapidement, il vous fera de petites réflexions en s’appuyant sur une de vos failles. Il s’étonne que vous ne soyez pas parfaite. C’est pourtant ce qu’il avait cru. Vous l’avez dupé, trompé sur la marchandise. Vous vous sentez chaque jour plus nulle mais habitée par la gratitude d’avoir été choisie par cet homme si exceptionnel qui vous fait croire qu’il sait tout, qu’il détient la Vérité. La machine à analyser ne s’est pas encore mise en route. Vous fermez les yeux et vous vous bouchez les oreilles alors que votre prince charmant vous dit tout dès le début… mais vous ne vouliez pas entendre.
 
Le pervers à votre service
Il se rend indispensable. Jamais pour vous aider mais pour tout contrôler. Il veille sur vos amis, votre famille. Il contrôle que vous êtes sous son emprise, et fidèle… Bien entendu vous l’êtes et pour longtemps !
 
Les privations
Rapidement, on est loin de la prodigalité des débuts. Il n’est pas du genre à se contenter d’une femme à entretenir, il veut une ambitieuse, une battante. Vous n’avez que des obligations et aucun droit.
 
La tactique du chien qui aboie
Il a l’art de la dispute, de la colère pour mieux vous rabaisser et vous détruire. Il joue à l’homme harcelé coincé par une furie, une hystérique dont le seul salut est la fuite. Il se tire et joue sur notre peur de l’abandon. Vous n’avez pas encore démissionné de vos sentiments alors qu’il assassine votre amour à bout portant. Pour avoir été capricieuse
et insupportable vous vous exposez à tous les châtiments. Dès que vous rentrez dans le rang, que votre rébellion est terminée, il redevient amène. Vous avez échoué à vous définir et lui avez prouvé que vous n’êtes pas capable.
 
Les planteurs
Si tu m’emmerdes, je me tire ! Si tu n’es pas contente, tu en tires les conséquences ! Le jour où vous lui ouvrirez la porte, il n’y a malheureusement très peu de chances qu’il la prenne. Il vous a tant de fois joué les disparitions que l’idée de la rupture s’est ancrée en vous et cette odieuse menace n’aura plus d’effet.
 
L’étiquetage et le rond de sorcière
Il a étiqueté tout votre entourage. Ils sont tous cons, ne vous aiment pas, sont intéressés, vous veulent du mal, vous mentent. Petit à petit, vous ne voyez plus personne. Pas étonnant, vous êtes une mauvaise maîtresse de maison, vous ne dites que des âneries, vous êtes continuellement hors propos, votre coiffure est vulgaire,  Lui, ça ne le dérange pas de ne plus voir personne. Il ne supporte pas l’idée d’être cerné, mis à nu.
 
Pauvre homme !
Le pervers sait jouer de votre instinct maternel. Il est tombé sur vous pour le besoin que vous aviez déjà très tôt d’être réparatrice.
 
Cause toujours, tu m’intéresses ! Le découragement
Le pervers ne s’intéresse pas à vous. Si vous parlez de votre passion, il vous interrompt, ne vous écoute pas, change de sujet. Il a l’art de vous décourager sur tout et surtout si cela devait lui coûter ! Il est toujours jamais d’accord sur rien ! Comme il veut guider votre vie, il fait semblant de se réjouir de vos succès qui le projettent dans une angoisse folle de ne plus vous dominer.
 
Déstructurer
Le pervers cherche à s’attaquer à vote image et à votre nature profonde dans un but destructeur. C’est de l’abus narcissique.
 
Ses armes
Sous-entendus – Allusions malveillantes – Mensonges – Humiliations – Messages trahissant son manque de respect évident.
 
Le pervers au quotidien
Vous entretenez sans le vouloir son travail de déstructuration et de destruction. Si vous êtes de nature combative, si vous parvenez à lui faire passer quelques mauvais quart d’heure vous vous épuiserez. Un jour, vous ne l’aimerez plus car il n’est tout simplement pas aimable. Pas complice, mais tellement mal barrée !
 
La mythomanie, le mensonge
Le pervers adore se faire plaindre. Mal-aimé, incompris, si seul. Il ne recule devant aucun mensonge, aucun coup bas. Lorsqu’il est démasqué, le pervers se met en colère ou en fuite. Il redoute la déconsidération. Lorsqu’il lui sera impossible de continuer à se   faire une virginité avec vous, il repartira s’en faire une autre chez sa maîtresse à qui il racontera qu’il est en instance de divorce d’avec sa femme malveillante, mal aimante, froide et distante. Le pervers ne s’intéresse qu’à préserver ses intérêts. Il ne vit pas comme vous dans le passé à ressasser ses entourloupes. La culpabilité, il ne connaît pas. Il a toujours une bonne raison pour justifier ce qu’il vous a fait subir. Il revient comme si de rien n’était ne reculant devant aucune promesse : « Les promesses ne lient que ceux qui y croient ! » C’est un décor de théâtre sans rien derrière. Les phrases sont vides et creuses.
 
Championne de la tolérance !
Il joue sur du velours. Vous ne portez jamais de jugement à l’emporte-pièce sur vos congénères auxquels vous trouvez toujours des circonstances atténuantes. Vous êtes indulgente pour votre partenaire qui ne cesse pourtant de vous faire remarquer que vous n’êtes pas celle qu’il a rencontrée.
 
La violence des mots
La violence de ses paroles a un pouvoir destructeur énorme. Vos sentiments meurent à petit feu. La où le pervers est passé, l’herbe de la vie a bigrement du mal à repousser. La violence physique n’est pas son truc : elle pourrait laisser des traces.
 
 

Les territoires de prédilection du pervers

 
L’argent
Le pervers ne s’estime jamais assez riche. Il parle continuellement d’argent. Il vous laisse croire qu’il vous donne alors qu’il vous dépossède. Il vous fait un cadeau avec vos sous. Il est prévoyant avec vos sous et ne veut surtout pas que vous réalisiez un projet personnel, sur lequel il feindra de vous complimenter alors qu’il bout. Votre narcissisme, il tire dessus au canon ! Le pervers sait très bien nager en gardant ses vêtements secs : il s’arrangera pour sortir de la bijouterie de manière à ce que vous n’ayez rien voulu alors qu’il aurait adoré vous faire plaisir. S’il a un geste de générosité, il vous présentera l’addition. Lorsque le pervers voit sa proie lui échapper, il lui coupe les vivres.
 
Paroles et paroles…
Vous avez commencé à vous respecter, vous avez démonté le mécanisme et sortez du système aliénant dans lequel il vous tient piégée depuis longtemps. Cet homme de promesses fictives ne sera jamais un homme de parole. C’est l’escroc de l’amour qui ne s’engage jamais, n’est responsable de rien et vous persuade que sans lui vous ne serez plus rien.
 
Fidèle malgré lui
Des maîtresses, il en a eues et en aura encore tout en faisant croire que ce n’est pas sa tasse de thé. Ce gigolo non déclaré se sert de vous et faisant croire à tous qu’il est à votre service. Vous êtes son faire-valoir à qui il finira par dire que vous ne lui apportez rien : une demande indirecte à lui donner plus. Un monstre qui n’aime jamais, que vous avez la chance inespérée d’aimer.
  
Le pervers et les enfants
L’enfant ne sait jamais ce qui va surgir : un billet ou une gifle. Il ne sait sur quel pied danser ce qui génère beaucoup d’angoisse. Il ne vous aidera en rien dans l’éducation des enfants et ne sera d’aucun soutien.
 
Femme-objet, c’est son truc
Soit belle et tais toi. Dans l’intimité, vous serez trop grosse, trop maigre : vous n’irez plus voir ailleurs. Entre ses mains, la plus belle fleur s’étiole. Inutile d’essayer de vous faire aimer d’un pervers. Vous n’êtes qu’une chose dont il se débarrassera lorsque vous ne le servirez plus. Ce qu’il vous a fait, il le fera à la suivante : c’est une loi immuable.
 
Ma femme est formidable
Il est le premier à raconter que vous êtes admirable, à vous emmener dans les endroits qui l’intéressent lui, il aime son titre et s’en sert, il aime absorber vos qualités pour qu’elle rejaillissent sur lui. Aussitôt rentrer à la maison, il lui lance la serpillière : « Tiens, torche-moi tout cela ».
 
Le pervers en crise
« Quand on veut tuer son chien, on dit qu’il a la rage ». Il vous accuse de toutes les fautes possibles pour justifier la décision de commencer une autre relation, dont il ne veut pas assumer la responsabilité. Il est important pour sa conscience qu’il se dédouane en remettant en cause votre façon de faire l’amour. C’est un homme de décision cohérent : « Quand tu as commencé à ne plus avoir de désir pour moi, je suis allé voir ailleurs ». Avec lui, le sexe est morne, répétitif. La tendresse ne fait pas partie de son rayon. Il ne jure que par les rapports oraux vaginaux.
 
Le pervers et la bouffe.
Il adore bouffer. Le régime, il n’en fait jamais et c’est un feu de paille dont il vous fait porter la responsabilité. Il adore faire les courses – surtout sur le compte commun – : saumon, blinis, bons vins…
 
Le pervers fugue
Il se prétend dépressif. Il prêche le faux pour savoir le vrai, pour vérifier si la place est prise, s’il peut encore se rabattre sur vous au cas où ça galère avec sa copine. Il teste en permanence votre degré de dépendance. Il se peut que vous appreniez par sa copine que vous êtes en instance de divorce. Si son projet est en bonne voie, vous n’entendrez pas parler de lui.
 
 

Qui est cet homme ?

 
L’homme aux cent visages 
Le pervers est perdu lorsqu’il est seul. Il est capable de produire dix rôles à la fois. Nul n’imagine le visage qu’il montre en intimité, celui du tyran domestique. Très doué pour les relations sociales, lors d’un dîner, il rit aux éclats, et dès qu’il se lève, il n’est pas à la fête avec tous ces cons.
 
Malin, dépourvu de sens moral, « la loi, c’est moi ! ».
Vous avez peur de lui, vous qui connaissez le visage qu’il ne montre qu’à vous. Un vrai retors qui a une expérience inouïe de la rouerie et qui manie la loi qu’il connaît à merveille pour qu’elle lui serve. Il se veut au-dessus d’elle mais pas hors la loi. Habité par l’esprit du malin, il est plus que malin. Pervers et rien d’autre.
 
Le roi de l’ambivalence
Il oscille en permanence entre le manipulateur extra doué et l’enfant démuni. Après le coup de patte vient la caresse. Capable de la plus grande méchanceté et de la plus terrifiante folie, il apparaît dans sa plus grande innocence. Il sait garder ou divulguer le secret au gré de ce qui l’arrange. Il ne cesse de dire une chose et son contraire, de maintenir l’autre dans le flou. Aujourd’hui, vous êtes tout, demain, vous êtes rien.
 
Le pervers n’est rien sans vous
Vivre avec lui est aussi ennuyeux qu’épuisant. Il n’a aucune passion. Les vacances l’emmerdent alors il se démerde en vous emmerdant.
 
L’arnaqueur universel
Truander est le seul moyen qu’il connaît pour libérer la violence intense qu’il porte en lui. Plus on lui donne, plus il se venge en vous le faisant payer très très cher.
 
Le regard du pervers
Vous n’en croyez pas vos yeux devant la lueur de haine et de violence qui brille pour vous dans son regard. Quand vous lui échappez ou quand vous devenez encombrante, il met à mort.
 
La solitude du pervers
Il n’a pas d’amis. Il n’est jamais entre deux femmes, il a déjà prévu la suivante. Il a horreur du vide, le sien, quant il n’a personne à « sadiser ».
 
Haute estime de soi
Lorsqu’il prononce son nom, il le dit avec une telle fierté et une telle mise en avant de soi, qu’on dirait Jules César. La mésestime de lui est telle qu’elle le contraint pour exister à dévaloriser l’autre jusqu’à le détruire. Son but est de vous faire souffrir jusqu’au bout.

La victime est-elle maso ?
La victime n’est pas maso mais elle revit ce qui s’est passé dans sa famille, et par une espèce de loyauté familiale, elle décide de réparer. Ce faisant, la victime est prête à faire le sacrifice d’elle-même, de ses besoins, de ses demandes. Le besoin de donner est bien plus important que celui de recevoir. La victime se néglige. De toute façon, avec lui, elle a fait le choix des larmes.
 
La famille du pervers
La mère du pervers est bien souvent infantilisée. Peu rancunière pour toutes les humiliations que lui a fait subir son mari, cette femme a rarement pris la défense de ses enfants par peur de son mari. Elle dira à la femme de son fils que contrairement aux apparences, il a un si bon fond. Elle est victime et bourreau. Victime du père pervers et en même temps garante de la pérennisation du système par son fils. Ayant une image dévalorisée d’elle-même, elle compatit aux malheurs de sa belle-fille tout en se régalant de pouvoir projeter cette image sur la femme qui lui a pris son fils.
 
Le pervers et ses rebonds
Il n’est jamais aussi redoutable que lorsqu’il est au fond du trou. Cet homme refuse la souffrance qui lui permettrait de résilier. Il se condamne ainsi à répéter inlassablement les mêmes comportements. Il n’aura rien appris, tiré aucune leçon de l’histoire.
 
« Le pervers est un individu qui, par frayeur face à la vie, organise son existence en produisant des lois destinées à le rassurer » Daniel SIBONY.
 

La séparation

 
Vous étiez de son parti. Le désavouer, c’était vous désavouer. Vous avez eu la naïveté de penser que vous seriez épargnée parce qu’il vous aimait. Vous pensiez que mieux valait être son amie que son ennemie. Vous avez pris un parti pour la vie jusqu’au bout.   Un jour, l’emprise a pris fin. L’envie de s’échapper est la plus forte. La séparation est vitale. Le courage face au pervers ne sert à rien. Vous êtes dans une prison payante payée par vous et librement acceptée ! Stop ! Ne vous justifiez plus !
Le Pervers perd le contrôle de la situation. Il déclare la guerre. Vous n’avez pas encore prononcé le mot séparation, qu’il vous y conduit tout droit, vous « répudie ». Vous lui échappez et il préfère vous voir disparaître. Il ne sait plus parler normalement : « Tu me dois la moitié de l’ordinateur »… Il va tenter de reprendre le contrôle à distance : lui qui ne voulait plus d’enfant, va vous en proposer un autre. L’enfant est une arme dont il se sert « Je t’en fais, je t’en fais pas… » de quoi rendre folle une femme en âge de procréer. Il ne sait vivre sans vous, vous apitoie, joue l’angélisme, vous menace de se pendre, alors qu’il est déjà pendu au cou de la suivante depuis longtemps.
Agression – Mépris – Pas de remise en question – Eternelles promesses non tenues auxquelles il ne croit pas une seconde… Le pervers charmeur qui persévère fini par être épuisé de ses propres tours.
La séparation se précise. Il ne faut plus jamais se trouver en sa présence sans un tiers. Dès que celui-ci aura le dos tourné, il en profitera pour vous malmener ou vous humilier. Lui, qui n’a jamais été d’accord sur rien, ne sera pas d’accord sur la manière de se désaccorder. Il est décidé à vous soutirer tout ce qu’il pourra… Un pervers chevaleresque n’existe pas.   Ce violeur d’identité et ce véritable rat pour lequel rien n’est grave ne collaborera jamais. Il fera tout pour vous pourrir l’existence et rien pour vous manquer ! Vous ne serez jamais assez dépouillée. Plus vous lui demandez, moins il vous donnera. Plus vous attaquez, plus vives seront ses réactions perverses. Il vous spolie sans même comprendre qu’il spolie ses enfants. Ne tombez pas dans le piège de ses envies de dialogues constructifs. N’ayez jamais pitié. Ne vous laissez pas émouvoir. Restez calme ! Ce pervers sera toujours rattrapé par sa perversité qui se retournera un jour contre lui. Il est obligé de prendre des décisions rapidement qu’il ne contrôle plus et qu’il subit. Il veut prendre, prendre… cela le conduira au délit.

Aimer un pervers coûte cher… Le quitter est exorbitant ! Mais au juste… que voulait-il vous faire payer ?

« Gardez vous d’aimer un pervers« , le sujet des pervers est traité avec tout l’humour nécessaire dont ne manque pas Véronique Moraldi.  En effet, il faut une belle mise à distance pour traiter de ce sujet dont les victimes n’ont pas trop de quoi rire.  Un livre qui décrit magnifiquement bien ce personnage si in-aimable, qui donne de bons tuyaux pour le repérer, et si c’est trop tard, des tuyaux de contre-manipulation et le courage de s’en défaire.   Gardez-vous d’aimer un pervers…  car aimer un pervers coûte cher… et le quitter est exorbitant ! Mais au juste… que veut-il et que voulait-il vous faire payer ? Son vide ?

Oltome - Véronique Moraldi Véronique MORALDI est née à Nice en 1963.  Elle a poursuivit des études de philosophie, de lettres classiques et de droit avant de se consacrer à la psychologie et à la psychopathologie. Formée à la méthode ESPERE de Jacques Salomé, Véronique Moraldi se spécialise dans les problèmes de harcèlement moral, l'étude des personnalités narcissiques et l'analyse des liens familiaux et de leurs conséquences sur les comportements des adultes. Avec un sens inné du portrait et de l’humour, elle est l'auteure de nombreux livres dont "La fille de sa mère" (2006), "Gardez vous d'aimer un pervers" (2004), "La fille de son père" ou "N'ayez pas peur d'éduquer vos ados" (2010), "L'embarras du choix" (2013) et " Etre fidèle à soi-même en amour".
Elephant Oltome

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