"Si vous possédez une bibliothèque et un jardin, vous avez tout ce qu'il vous faut." Ciceron

Cessez d’être gentil soyez vrai !

Synthèse & résumé À propos du livre Biographie de l'auteur

Nous sommes plus habiles à dire aux autres leurs quatre vérités que de simplement exprimer la vérité qui se passe en nous. Nous jouons un rôle, portons un masque. Nous nous sommes coupés de nous-mêmes pour être avec les autres. Cette non-écoute de soi mène à la non écoute de l’autre, le non respect de soi-même au non-respect de l’autre.
Cessez d’être gentil, soyez vrai… désamorcer la mécanique de la violence là où elle s’enclenche en ré-apprenant à traiter nos besoins.
Comment être soi sans cesser d’être avec l’autre,
Comment être avec l’autre sans cesser d’être soi ?

I. Pourquoi nous sommes coupés de nous-même, de nos sentiments, de nos besoins ?

  • L’espace mental

L’espace mental est représenté par notre tête. C’est lui qui a bénéficié de toute l’éduction que nous avons reçue pour être efficace, rapide, productif, sage, ordonné, raisonnable… Notre espace mental est constitué de jugements, d’étiquettes, de préjugés, d’une pensée binaire qui nous déresponsabilise et nous asservit très subtilement.

  • Les sentiments

Les sentiments sont représentés par le cœur. Le fonctionnement traditionnel qui privilégie le processus mental, nous coupe de nos sentiments et de nos émotions. Dès l’enfance, on nous enseigne qu’être adulte, c’est ne pas déranger. On nous enseigne également qu’il faut être ce que les autres attendent. Ainsi, on ose plus être soi-même, car c’est risqué de perdre l’amour des autres. Or le sentiment fonctionne comme un signal lumineux qui nous indique qu’une fonction est remplie ou non, qu’un besoin est satisfait ou ne l’est pas… Nous devons réapprendre à identifier nos sentiments !

  • Les besoins

Comme nous sommes largement coupés de nos sentiments, nous le devenons tout à fait de nos besoins. Nous parlons ici de nos besoins de base que nous devons satisfaire et qui touchent à nos valeurs humaines : liberté, entraide, responsabilité, respect, identité… Cependant, on nous a tellement appris à cesser « de nous écouter », qu’effectivement, nous ne parvenons plus à nous écouter.
Conséquences :
. Difficulté à faire des choix qui nous engagent personnellement
. Dépendant du regard et de la reconnaissance de l’autre
. Trouver le coupable responsable de l’insatisfaction de notre besoin
. Imposer nos besoins aux autres pour les faire valoir
. Renoncer à satisfaire nos besoins

  • Demande

Nous avons la responsabilité de pouvoir identifier notre besoin afin de le satisfaire, de l’exprimer avec sensibilité, force et vérité pour l’incarner dans la réalité. En formulant notre demande, nous prenons en charge la gestion de notre besoin et donc la responsabilité de sa satisfaction.

II. Prendre conscience de ce nous vivons vraiment.

1. S’épuiser pour bien faire
Notre vraie richesse et la source de nos joies profondes et durables réside dans notre faculté à nouer des relations profondes, stables et nourrissantes avec nous-mêmes et avec les autres. Nous avons en fait besoin de se sentir intégré et la tête réconciliée avec le cœur.
Ceci s’avère bien souvent difficile car :

  • Nous sommes rarement en rapport avec la réalité telle qu’elle est mais le plus souvent avec celle que nous croyons être ou craignons qu’elle soit.
  • Nous basons souvent nos réactions sur nos impressions et préjugés plutôt que sur ce que nous ressentons vraiment.
  • Nous agissons bien souvent en fonction de critères extérieurs : l’habitude, le devoir, la crainte du regard de l’autre…
  • Et enfin, à défaut de pouvoir comprendre et traiter nos besoins, nous finissons par y renoncer pour faire plaisir aux autres (pour être gentils !) ou par les imposer car les autres n’ont toujours pas devinés quel était mon besoin que je n’ai jamais réussi formulé.

2. Observer sans juger ni interpréter 
La première étape de la communication non violente avec soi-même est de pouvoir observer sans juger ! « Mon ami râle » n’est pas pareil que « mon ami n’a pas dit pas un mot pendant le repas ».

  • Une observation neutre permet d’ouvrir l’entretien d’une façon qui respecte la réalité et la vision que l’autre en a sans juger ni agresser.
  • Décrire de manière concise le comportement qui nous dérange tel qu’il est, en « mode caméra », sans jugement ou critique qui ont vite tendance à envahir tout notre espace mental.

Observation – Sentiment – Besoin – Demande
Observation : nous réagissons à quelque chose que nous entendons…
Sentiment : cette observation suscite un sentiment
Besoin : le sentiment nous renseigne sur nos besoins
Demande : la prise de conscience du besoin enclenche une demande
« Quand je vois ton cartable dans le hall, je me sens découragée car j’ai besoin d’avoir une maison en ordre pour me sentir bien chez moi. Serais-tu d’accord de ranger ton cartable lorsque tu rentres ? » au lieu de « Tu laisses toujours tout traîner »
« Nous avions RDV à 8 H, je me sens fâchée, car j’ai besoin d’être rassurée que rien de grave n’est arrivé. Es tu d’accord d’en parler avec moi ? » au lieu de « Tu es encore en retard, c’est toujours la même chose… »
 
3. Sentir sans juger ni interpréter
« Je me sens »… apprendre à traiter notre souhait, en renonçant au scénario de victime, en parlant de soi, dans un langage délivré de cette dépendance à ce que l’autre fait ou ne fait pas, et qui nous permettra de nous faire comprendre par l’autre en suscitant le moins possible sa peur, sa résistance, sa fuite, son opposition. Lorsque l’autre entend un jugement, un reproche, il ne nous écoute plus, il prépare sa contre-attaque.
Attention ! La communication non violente demande de parler vrai et d’écouter vrai. Dire « Je me sens abandonnée » est un déguisement de l’accusation « Tu m’abandonnes ». Et « Abandonnée » n’est pas un sentiment. « Je me sens triste et seule, j’ai besoin d’être rassurée sur le fait que je compte pour toi,… »
4. Identifier nos besoins sans les projeter sur l’autre 
Nous avons appris à croire que nous sommes responsables de la satisfaction du bien-être de l’autre, et inversement, que l’autre se sent responsable plus ou moins de notre bien-être. « J’ai besoin que tu sois… », « J’ai besoin que tu changes », « Tu pourrais faire… » Or, c’est la liberté que nous nous donnons qui nous relie l’un à l’autre. Si nous étions prêts à goûter tout l’amour qui nous est proposé, nous serions bien plus en paix.
La peur de l’engagement indique les besoins suivants :

  • Être rassuré de pouvoir rester soi-même tout en étant avec l’autre
  • Pouvoir continuer d’aller vers soi-même tout en allant vers l’autre
  • Echanger de l’affection avec l’autre sans devoir le prendre en charge ou être pris en charge
  • Être avec un être qui vous aime tel que vous êtes et non pour celui ou celle dont il rêvait.

Petites astuces :

  1. Quitter la pensée binaire « ou » – « soit ».
  2. Utiliser le « et ». « J’ai besoin d’être relation avec toi, Et j’ai besoin d’être en relation avec moi ».
  3. « Pour le moment » : la notion de temps donne l’espace pour respirer
  4. Remplacer « Mais » par « Et en même temps ».
  5. Eviter : les « tu », « toujours », « tout », « jamais »… 

Nos besoins ont plus besoin d’être reconnus que satisfaits. Identifier son besoin ne veut pas dire que ce besoin sera satisfait mais qu’on a simplement pris conscience d’un besoin qui nous habite. 
 
5. Formuler une demande concrète, réaliste, positive et négociable
Si nous ne formulons pas de demande, c’est comme si nous ne nous donnions pas le droit d’exister et que nous vivions dans un besoin virtuel. Pour aller vers notre besoin « ici et maintenant », il faut l’exprimer dans un cadre approprié à l’espace de la rencontre. Notre bien-être viendra dès que la qualité de la rencontre aura permis la recherche de la solution

  • La demande est concrète : définir c’est finir, accepter la finitude.
  • La demande est réaliste : la plus petite chose que nous puissions faire peut provoquer un changement dans le sens désiré.
  • La demande est positive : inviter l’autre et non empêcher l’autre à…
  • La demande est négociable : elle n’oblige pas l’autre à accepter.

 

III. Prendre conscience de ce que l’autre vit vraiment

Quand on se parle à demi-mots, on ne se comprend qu’à moitié ! Notre faculté d’expression de nos besoins est aussi importante que notre faculté de réception des sentiments et besoins de l’autre.
1. Communiquer c’est exprimer et recevoir un message
On se dit tout ! Mais est-ce qu’on écoute tout ? Souvent, on passe d’un extrême à l’autre, du rôle de victime à celui de tyran. Nous avons peur de nous exprimer par peur d’enlever le masque. De même, nous avons peur d’écouter de peur de se sentir insécurisé par la souffrance ou la différence de l’autre. Pour communiquer il faut pouvoir quitter la peur pour basculer dans la confiance. C’est alors, que l’énergie bascule et devient disponible pour agir, créer, être simplement, présent à soi, à l’autre, au monde !
« Je suis à même de vivre et de trouver la joie sans toi, tu es à même de vivre et de trouver la joie sans moi. Nous avons l’un et l’autre cette force et cette autonomie, et en même temps, nous aimons être ensemble car c’est encore plus joyeux de partager, d’échanger ensemble. Ensemble, nous ne tentons pas de combler nos manques mais d’échanger de la plénitude.
 
2. L’empathie : être présent à soi et à l’autre
L’empathie, c’est écouter au bon endroit, avec le cœur, en portant notre attention à ce qui se vit sur le moment.
. Ne rien faire
. Se mettre en vibration
. Reformuler le besoin de l’autre pour vérifier que nous avons bien compris
. Constater le relâchement, la détente de l’autre, son soulagement
 
3. Nous n’avons pas le temps de nous entendre…
A chaque moment, nous le choix de la paix ou de la guerre. Vous pouvez contraindre tous les jours votre enfant à renoncer à traîner le matin, ou la rencontrer pour tenter de la comprendre.

IV. La rencontre

« Nous sommes tous unis. Le sort de l’humanité entière dépend des relations de chacun avec les autres. Jamais nous n’avons à ce point dépendu les uns des autres. Mais nous ne le comprenons pas. L’homme échoue à devenir un être doué de compassion et d’entraide. Si nous persistons dans cette attitude qui exige que nous considérions notre voisin comme notre premier ennemi, si nous continuons à éveiller la vengeance et la haine, à polluer notre monde et nos pensées, cela veut dire que nous n’avons rien appris des grands maîtres, ni de Jésus, ni de Bouddha, ni de Moïse. Et si nous ne corrigeons pas ces réflexes pavloviens, nous serons impuissants à affronter cette époque où l’humanité s’acharne à exploiter, à vaincre, à exercer la tyrannie, à amasser le plus possible, sans se soucier de ce qui suivra, à vivre aux dépens de ceux qui n’ont ni recours, ni ressource. Il faut partager avec ceux qui ne nous ressemblent pas : leur différence nous enrichit. Il faut respecter ce qui est unique chez l‘autre. » Yehudi Menuhin.
En communicant tête à tête, nous communiquons sur le plan mental, sans prendre conscience de nos besoins respectifs. Selon notre bonne, moyenne ou mauvaise humeur, c’est un échange d’informations banales, ou un « qui a raison et qui a tort », ou un échange de plein fouet.
Pour qu’une vraie rencontre puisse se faire, il faut se connecter à l’autre, en descendant d’abord à l’intérieur de nous-mêmes, dans notre puits pour pourvoir ensuite se connecter au puits de l’autre. Quels sont mes besoins ? Quels sont les besoins de l’autre ? Dansons doucement l’un vers l’autre. Les êtres se connectent entre eux par la même nappe phréatique. : c’est la même eau qui les maintient en vie, ce sont les mêmes besoins qui les animent.  Sur le chemin vers l’autre, on ne peut faire l’économie vers soi.
 

V. La sécurité affective et le sens, deux clés pour la paix

1. Je t’aime si 
Depuis tout petit, nous sommes dressés à répondre aux attentes de l’autre. « Je suis contente quand Tu fais ceci, je suis triste quand Tu fais cela »….
Nous avons appris à faire, pas à Etre !
Soit nous nous sentons responsable de l’état de l’autre. Trop occupés à vouloir l’aider, à faire, nous ne sommes pas à son écoute. Prendre soin n’est pas prendre en charge, c’est être présent à l’autre et lui faire confiance dans sa capacité à être autonome, en le laissant aller dans son puits.
Soit, nous attribuons la responsabilité de ce que nous vivons à l’autre, au lieu d’être à l’écoute de nous-même afin de nous rendre autonomes et responsables.
2. Nous n’avons pas appris à être aimer comme nous sommes, mais à être aimés comme les autres voudraient que nous soyons.
Nous avons appris à correspondre aux attentes des autres. C’est ainsi que nous attendons également que l’autre corresponde à nos attentes. Il faut réapprendre à aimer l’autre tel qu’il est et se faire aimer tel que l’on est. Rencontrer c’est d’abord être ! Et aimer son mari, c’est aimer son mari ou ses enfants et non son projet de mari ou d’enfants. L’amour implique le respect
 
3. La différence est vécue comme menaçante.
Si je ne fais pas ce que tu dis, m’aimeras-tu ? Si l’autre est différent, je vais devoir changer. On m’aime ou on « même » ? L’autre est perçu comme un juge qui approuvera ou désapprouvera notre comportement. La peur du conflit reflète la quête de l’approbation de l’autre. Nous avons peur de prendre notre place et peur que l’autre prenne la nôtre. On devient ainsi une gentille personne morte sans identité qui par peur et facilité est devenue gentille plutôt que vraie. Que de mensonges pour être gentil !
4. Le sentiment le plus courant : la peur !
Très souvent, ce qui nous empêche d’être nous-mêmes, c’est notre façon de vivre ses relations. Pouvons nous exister devant l’autre ? Nos besoins de sécurité intérieure et de confiance doivent recevoir l’attention nécessaire pour se développer.   Nous ne pouvons pas créer des relations durables et satisfaisantes sans prendre soin de ces deux besoins : vérité et authenticité.
5. Soyons vrai, osons dire Non
Apprendre à dire NON demande le travail de 4 valeurs :
. Respecter ses sentiments
. Prendre le temps de vérifier ce que je ressens vraiment
. Etre responsable de ses besoins et respectueux de ceux des autres
. Trouver la force de dire non et de trouver ou proposer une autre solution.
Dire NON c’est aussi dire OUI !
 
6. La colère
Deux raisons rendent la colère difficile à vivre : la peur du rejet et la peur des tragédies qu’elle pourrait engendrer. Pourtant enterrer une colère, c’est enterrer une mine. Il est impératif de vider son vase régulièrement sous peine d’exploser une fois le vase plein. Faut-il être en colère pour parler vrai ? Sommes-nous handicapés à ce point de l’expression pour qu’il nous faille l’énergie de la colère pour arriver à dire ce qui bouillonne en nous ?
Rappelons-nous qu’il a y a plus de joie à tenter de résoudre nos conflits qu’à réussir à les aggraver !
Prendre soin de notre colère :

  • Se taire et bien nous écouter
  • Accepter les images de violence qui nous viennent
  • Identifier son besoin insatisfait
  • Identifier les nouveaux sentiments qui peuvent se manifester.
  • Ouvrir la bouche et dire notre colère à l’autre

VI. Nous renseigner mutuellement, partager nos valeurs

 
Il faut, tu dois, c’est comme cela, t’as pas le choix…
Derrière le il faut « que je travaille » il y a un « je voudrais vraiment ». La liberté fait plus peur que les contraintes. Je dois travailler parce que je veux un certain confort mais cela me pèse car je voudrais voyager…. Les « il faut » servent des valeurs et les identifier nous responsabilise. « Si tu n’aimes pas cela, change-le. Si tu ne le changes pas, aime-le ! »
Respecter une règle implique qu’on la comprenne. Un gendarme qui vous arrête avec une attitude bienveillante et qui vous « OSBD » vous invitera bien plus durablement à être vigilant sur les routes qu’en vous humiliant et en vous envoyant une amende.
Les jeunes ont plus que jamais besoin de sens et d’intensité. Ils ont besoin de direction, de signification, de sens et de liberté. Prendre le temps. Priorité à l’écoute plutôt qu’à la chaise.

VII. Méthode

 
Trois minutes, trois fois par jour
Accueillir notre propre vulnérabilité pour nous rendre disponibles à soi et aux autres.
Un bédouin dit : « La tristesse est un virus qui ne survit pas chez nous. Si quelqu’un est triste, il recevra tout de suite une écoute et un réconfort et ainsi retrouvera vite le plaisir de prendre soin des autres ».
La violence n’est pas notre nature.   Elle est l’expression de la frustration de notre nature. La méchanceté est l’expression de l’amertume des gens qui n’ont pas pris soin de leur souffrance. Il est temps de « Jardiner la paix » !
Laurence de Vestel, juillet 2015 – © Oltome.com

« Cessez d’être gentil soyez vrai », est un des livres qui a le plus changé ma vie… A mettre dans toutes les mains ! Après l’avoir lu, je me suis inscrite à 3 stages de Thomas d’Ansembourg.  La « Communication non violente » est un vrai sujet : apprendre à respecter ses besoins, c’est se respecter, se faire respecter et respecter les autres.  En effet, cessez d’être « bêtement » gentil, c’est aller en profondeur et avec simplicité vers la connaissance de soi.  Pour moi, la communication non violente est la meilleure hygiène de vie qui soit pour être en joie en étant enfin soi ! Savoir ce qui me rend profondément heureux et me mets en joie nourrit ma journée et ma vie… et c’est pourquoi, moi, Oltome, j’existe !

Oltome - Thomas d'Ansembourg et Laurence de Vestel Thomas d’Ansembourg est né en Belgique en 1957. Il a exercé la profession d’avocat et de conseiller juridique durant une quinzaine d’années. Parallèlement, il s’est engagé près de dix ans comme responsable bénévole d’une association dans l’aide concrète de jeunes délinquants à problèmes. Cette double approche lui a permis de s’impliquer dans la gestion des conflits avec une recherche de sens. Dans son souhait de comprendre la difficulté d’être en général, il entreprend une psychothérapie et se forme à différentes approches psychothérapeutiques. Sa formation à la méthode de Communication Non Violente (CNV) avec son fondateur Marshall Rosenberg bouleverse sa vie.  "Par mon travail, j’ai à cœur de contribuer à aider les êtres humains à trouver des clés pour s’ouvrir à une vie plus heureuse, plus inspirée, rayonnante et donc généreuse. En apprenant à nous connaître en profondeur, nous devenons des citoyens plus créateurs et solidaires. Cela demande juste un peu d’apprentissage." Il est formateur certifié en CNV. Il est l’auteur de nombreux ouvrages dont le premier en 2001 « Cessez d’être Gentil, soyez vrai », est devenu un best seller vendu à plus de 500.000 exemplaires et traduit en 26 langues.  Il a également publié "Etre heureux, ce n'est pas nécessairement confortable" (2015), "Du Je au Nous" (2014) et "La paix ça s'apprend" (2016)
Elephant Oltome

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